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DYNAMITE SHAKERS
Une troisième soirée flamboyante, très cuir tanné, couenne épaisse et élégante sauvagerie !
Boring (ennuyeux), un mot que ne connaissent pas ces quatre esthètes, héritiers directs des flamboyants Dogs et pourvoyeurs d’élégante sauvagerie depuis 2019. L’objectif, avant d’entrer en studio, était de retrouver l’esprit des sessions Sun Records, ce mélange d’énergie et de simplicité qui va droit au but. Objectif pleinement atteint, avec l’aide de Jim Diamond qui a fidèlement couché sur bande le rock’n’roll incandescent des DYNAMITE SHAKERS.
Inouïs du Printemps de Bourges 2023, PALES propage un style surplombant le post-punk, invisible aux radars de la bienséance. Un ADN rare oscillant entre l’hystérie de Sonic Youth, l’énergie d’Idles et la finesse d’Aretha Franklin. Le Cuir tanné, la couenne épaisse, la scène devient leur terrain de jeu où le supplice se révèle être leur miel. Pales a déjà tout pour se positionner comme fer de lance d’une nouvelle génération de la scène rock française. En deux ans, c’est plus d’une cinquantaine de concerts donnés dans des clubs et festivals !
©Adam Le Sommer
VERSION LONGUE
DYNAMITE SHAKERS – DON’T BE BORING
Jusqu’ici la force des Dynamite Shakers résidait principalement dans leurs prestations scéniques, ô combien brûlantes. Don’t Be Boring, leur premier vrai album change la donne. L’objectif fixé avant son enregistrement était de « retrouver l’âme des sessions Sun Records, millésime 1955 », ce mélange d’énergie et de simplicité qui va droit au but. Un objectif pleinement atteint.
Depuis leurs débuts en mars 2019, ces quatre esthètes, héritiers directs des flamboyants Dogs, ont alignés 360 concerts. D’abord autour de leur fief de Saint-Hilaire-de-Riez, en Vendée, puis en Bretagne, avant de régaler le public parisien de leur élégante sauvagerie en ouverture des Fleshtones à Petit Bain en novembre 2021. La fréquentation de ces derniers, avec lesquels ils ont fini par sympathiser, et ce conseil de Peter Zaremba, « Quel que ce soit le lieu, le contexte, le public : toujours se donner à fond, ne jamais tomber la veste, ne jamais considérer qu’il s’agit d’un concert ordinaire », ont assurément porté leurs fruits.
Leurs premières setlists révélaient déjà un goût très sûr : reprises d’Eddie Cochran, Gene Vincent, Jerry Lee Lewis et, pour la touche de « modernité », Stray Cats. Dans un deuxième temps ils revisitèrent les Kinks, et autres Sonics, Flamin’ Groovies, Remains, Fleshtones…
Des figures tutélaires qui font que « la question de chanter en français ne s’est jamais posée, tout ce qu’on écoutait était anglais ou américain ». Peu à peu, leur répertoire va s’étoffer de compos infusées de ces références qui seront rassemblées sur un 25 cm devenu aussi rare que précieux. On y décelait déjà cette Dynamite Shakers touch qui fait de ce Don’t Be Boring un album de rock’n’roll jubilatoire, où l’on passe sans transition du fébrile « Look How Fast It Goes » au mid-tempo « The French Top Ten ».
« Après l’expérience du six titres (trop léché, trop propre), on voulait renouer avec quelque chose de brut ». Pour répondre à ce cahier des charges, difficile de trouver plus qualifié que Jim Diamond, bassiste des Dirtbombs et coréalisateur de deux albums des White Stripes. Huit jours de studio ont suffi pour enregistrer ces dix morceaux principalement composés par Elouan Davy (guitare/ chant) et minutieusement répétés et rodés sur scène. Calvin Tulet, guitar hero en devenir, s’y épanouit à grands renforts de solos fuzzy et de contrepoints judicieux. Quant à François Rocheteau, il confirme qu’un groupe de rock’n’roll n’est rien sans un grand batteur. On se délecte ici de sa frappe métronomique, comme on se délecte en concert de ces ruades de mustang sauvage. Composé et chanté par la bassiste Lila-Rose Attard, « The Gates to That Sweet Song of Yours » enrichit Don’t Be Boring d’une touche plus introspective et entrouvre une porte sur un univers qui préfigure peut-être les prochaines aventures des étonnants Dynamite Shakers.
Quels sont les attentes, les espoirs, les rêves d’un groupe de rock’n’roll à la veille de dévoiler son premier album taillé sur mesure pour la scène ? « Jouer tous les jours », répondent les intéressés, impatients d’en découdre.
Pierre Mikaïloff
PALES
Inouïs du Printemps de Bourges 2023, PALES propage un style surplombant le post-punk, invisible aux radars de la bienséance. Un ADN rare oscillant entre l’hystérie de Sonic Youth, l’énergie d’Idles et la finesse d’Aretha Franklin. Le Cuir tanné, la couenne épaisse, la scène devient leur terrain de jeu où le supplice se révèle être leur miel. Pales a déjà tout pour se positionner comme fer de lance d’une nouvelle génération de la scène rock française. En deux ans, c’est plus d’une cinquantaine de concerts donnés dans des clubs et festivals !
©Kevin Besse
VERSION LONGUE
En mars 2021, une rencontre fortuite autour d’improvisations électriques scella le sort d’un groupe de post punk. Issue de cette fusion, PALES s’engouffra dans les tréfonds de Strasbourg pour faire naître une machinerie. Dansant en cercle autour d’un brasero, ils décortiquent le grand moteur du son afin de l’améliorer, pièce par pièce. Faire, défaire, puis refaire à nouveau, pour aller encore plus vite, encore plus loin.
Inouïs du Printemps de Bourges 2023, PALES propage un style surplombant le post-punk, invisible aux radars de la bienséance. Un ADN rare oscillant entre l’hystérie de Sonic Youth, l’énergie d’IDLES et la finesse d’Aretha Franklin. Le cuir tanné, la couenne épaisse, la scène devient leur terrain de jeu où le supplice se révèle être leur miel : les deux guitares s’étripent ; la basse martèle notre cage thoracique; la batterie dévale la pente infernale du rythme et au centre de ce grand bain de fièvre, la voix nous envoûte et nous possède.
Impossible d’échapper à PALES, qui comme un mantra sonore s’intègre dans votre esprit pour ne plus jamais le quitter, insufflant à la réalité une aura de beauté. PALES à déjà tout pour se positionner comme fer de lance d’une nouvelle génération de la scène rock française. En deux ans, c’est plus d’une cinquantaine de concerts dans des clubs, mais aussi d’importants festivals français comme le Décibulles, Cabaret Vert ou encore le FIMU.
PRESSE
« PALES délivre des émotions brutes et intenses, tout en saupoudrant l’ensemble d’ambiances oniriques. Un équilibre permettant à la magie d’opérer. » ROLLING STONE – 28 nov. 2022
« Une fois dans le public de Pales, on se surprend en lévitation commune. Le signe d’un groupe qui a compris l’essence du rock. » RUE 89 Strasbourg – 22 jan. 2023
« En live, le moment est presqu’irréel. Suspendu dans le temps. Où la grande prêtresse Célia ensorcèle le public d’un seul regard, tandis que les musiciens tissent une solide toile post-punk autour d’elle. » ROCK & FOLK – 20 oct. 2022
« 5 titres, c’est peu et suffisant pour comprendre que l’on a à faire avec un futur grand de la scène rock française. » FROGGY’S DELIGHT – 20 nov. 2022
« PALES a tout d’un grand groupe et ce disque en est la preuve. » L’OREILLE À L’ENVERS – 08 déc. 2022
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